Alors que des rumeurs envoyaient Cristiano Ronaldo au Brésil pour le Mondial des clubs, Flamengo a refroidi les espoirs : le rêve semble déjà enterré.
🔥 Flamengo refroidit les ardeurs
L’espoir aura été de courte durée. Face à la rumeur grandissante d’un transfert de Cristiano Ronaldo vers Flamengo pour disputer la prochaine Coupe du Monde des Clubs, le directeur sportif du club carioca, José Boto, a mis fin aux spéculations. « L’objectif principal est que ce soit un renfort pour le reste de la saison, pas seulement pour le Mondial », a-t-il affirmé avec clarté. Une manière élégante mais ferme de refermer la porte à une opération jugée déraisonnable, autant sportivement que financièrement.
Le Brésilien a d’ailleurs insisté sur l’aspect incertain de la nouvelle formule de la compétition mondiale, évoquant le risque de déséquilibrer l’équipe pour une échéance encore floue : « Personne ne sait comment les équipes vont réagir. Faire un investissement qui pourrait nuire au reste de la saison, nous ne le voyons pas d’un bon œil ».
💸 Un salaire hors de portée pour le football brésilien
Si l’idée de voir Cristiano Ronaldo fouler les pelouses du Maracanã a pu faire rêver les supporters, la réalité économique s’est imposée rapidement. Avec un salaire annuel estimé à 200 millions d’euros à Al-Nassr, le quintuple Ballon d’Or reste tout simplement inabordable pour n’importe quel club brésilien. Flamengo, pourtant l’un des clubs les plus riches du pays, préfère garder les pieds sur terre.
Et Flamengo n’est pas seul. D’après les informations de AS, Palmeiras et Botafogo partagent la même position : aucune volonté concrète d’attirer la star portugaise. Le Brésil salue le prestige de CR7, mais refuse de plier face à l’émotion.
🧭 Un avenir encore flou pour CR7
Ronaldo, de son côté, a alimenté les rumeurs en publiant récemment un message énigmatique sur X, laissant entendre qu’il pourrait tirer sa révérence à Al-Nassr. Mais pour l’heure, aucun projet de reconversion ou de départ officiel n’a été confirmé.
À bientôt 40 ans, la légende portugaise continue de faire tourner les têtes, mais les portes du Brésil semblent, elles, se refermer. Le Mondial des clubs ne sera pas son tremplin sud-américain.